COMPRENDRE LA NEGROPHOBIE ET LA FALSIFICATION DE L’HISTOIRE AFRICAINE D’HIER ET D’AUJOURD’HUI D’UN POINT DE VUE ECONOMIQUE ET MILITAIRE

Dodji Mahouignito Djehouty Olou

18,96 ttc

1 en stock

Si traduire c’est trahir, alors falsifier c’est détruire, altérer volontairement, dans le dessein de tromper. Ainsi, lorsque l’histoire d’un peuple est effacée, celui-ci ,  d’être lui-même car un peuple sans histoire , devient une aliénée qui n’a désormais plus conscience d’elle-même . Son identité ne s’exprime désormais qu’à travers celle de son bourreau. Une nation aliénée est une esclave qui ne s’identifie que par son maître et en fonction de la valeurs que celui-ci lui accorde. cette nation aliénée devient étrangère à elle-même et à ses valeurs. autrement dit, un peuple aliénée n’existe plus ou n’a d’existence que par l’existence de son maître. C’est pourquoi l’africain christianisé ou islamisé peut percevoir l’africain qui est resté africain comme un étranger sans être capable, à cause de son aliénation, d’être conscient du fait que le véritable étranger, c’est lui. L’aliéné est un autochtone qui s’ignore, se renie et se méprise. Ainsi falsifier, c’est tuer.

La falsification de l’histoire d’un peuple est un crime contre l’humanité, un génocide culturel, puisque par la falsification, ce qui fait l’essence du peuple disparait, à savoir son histoire. L’aliéné devient un objet dont le destin est conditionné par la volonté  exclusive du maître. A travers cette aliénation, l’aliéné perd non seulement conscience de lui-même mais aussi de la terre qui le nourrit. Le maître étant désormais propriétaire de l’aliéné et de sa terre peut désormais mettre en place son processus de pillage car pour coloniser la terre d’une population et voler ses richesses, il faut, de prime abord, endormir les conscience de ses membres. La meilleur manière de piller les richesses d’une civilisation, c’est d’aliéner les conscience de ses individus. C’est seule manière d’inhiber tout désir de réveil et de révolte. Un peuple spirituellement endormi devient un peuple physiquement malade et handicapé. Le plus grand handicap d’une civilisation, sa plus grave maladie, c’est son aliénation.

Dans cet ouvrage, nous montrons que les religions dites <<révélées>> , les plus grands philosophes de l’Occident et bon nombre de ses scientifiques ont été de redoutables outils d’aliénation du peuple africain dont le but ultime a été est toujours de piller ses ressources. La négrophobie et la falsification de l’histoire africaine n’ont été ou ne sont que des instruments de de l’impérialisme économique de l’Occident et de ses complices orientaux. Surtout, nous démontrons par des analyses et montre par des images cette falsification négrophobe et impérialiste.