Aïssatou et Adeola, deux personnages ancrés dans leurs racines africaines, imprégnés du panafricanisme et œuvrant pour la Renaissance Africaine, forment une union de survie. Il s’agit d’un modèle de relation basée sur des valeurs africaines fondamentales permettant de résister à l’aliénation culturelle et au mode de vie imposés par les Occidentaux.
Akofena sera leur enfant. Il grandira dans un environnement garveyiste, conçu pour construire des individus autocentrés, et donc à même de défendre les intérêts de leur peuple. C’est ainsi qu’Akofena après s’être découvert une passion pour le football, fera ses premiers pas dans ce sport en Guyane, terre toujours colonisée par la France dont sa mère est originaire. Accompagné par son père, originaire lui de Martinique, il sera convoité par les plus grands clubs du monde.
Akofena sera animé par la volonté d’être utile à son peuple : les Africains.
Il se demandera également comment œuvrer pour la protection de son identité et de sa dignité dans un monde taillé pour désagréger du nègre.
