L’autrice a souhaité donner la parole aux anciens, descendants d’Africains esclavisés qui ont construit la commune du GROS-MORNE. Les colons ont écrit sur les colons et l’esclavage, les mulâtres sur les mulâtres, mais peu de choses sur nos ancêtres qui ont irrigué de leur sang, amendé de leur corps la terre Gros-Mornaise et par-delà la terre Martiniquaise.
Ils savaient faire rire, avaient de la répartie, pour transmettre la mémoire des ancêtres et surtout nous apprendre à aimer et observer la nature avec humour, ironie, dans la pure tradition africaine.
La parole, les mots, cette « voix d’or » qu’ils nous invitaient à manipuler avec honneur et respect en toutes circonstances.
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